Wednesday, September 21, 2011

The International Monetary Fund has warned in its latest Global Economic Outlook that Europe and the US could slip back into recession next year unless they quickly tackle economic problems that could infect the rest of the world.The apparent 'boom' in living standards, property prices, pensions, benefits and consumer goods wasn't real, it was created on the back of massive personal and government borrowing. I would have thought that much at least was obvious to anyone.
The problem is not really lack of short-term growth, it's the expectation that we should have constantly have growth and that we should be 'better off'' in every way year after year. We can't return to the false boom and so we will have a period of contraction and shrinking of living standards back to just what they should have been without the debt-filled illusion of quick growth. Those shrunken living standards in the developed economy still look pretty good compared to the average African, non-oil Arab or South American state.And so living standards will have to fall, state expenditure will have to be reduced, debt payed down and we will all have to return to the real world
It isn't complicated, after all what is general 'poverty' in the Western world? Leaving aside the very real cases of the homeless and destitute. No new personal computer, no new mobile and no Sky subscription. No free gastric band operations, waiting a bit longer for a new hip or knee. No new car or telly or foreign holidays. Working longer because you're living longer and staying healthier and not expecting 50% of your best salary when you retire. Sometimes you don't need a complicated solution because the problem is simple. We were conned by politicians that all this was affordable and sustainable.. and it wasn't.

3 comments:

Anonymous said...

Slumping confidence in political leadership underlies slide, experts say


A mix of dread and hope has filled the hours before the opening of the Copenhagen Stock Exchange during the first two days of trading this week, as record sell-offs continue and panic about a new global recession sets in.

“We are deathly worried that just as the crisis was ending the OECD countries will head into recession,” Danske Bank chief strategist Morten Kongshaug told Politiken newspaper on Friday.

smh said...

Sans surprise, le Fonds monétaire international a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour l'économie mondiale à 4%, tant pour 2011 que pour 2012, soit 0,5 point de moins que les 4,5% annoncés en avril dernier. «4% peut sembler pas trop mauvais, mais la reprise est très déséquilibrée : pour 2011 nous voyons une croissance de 6,4% pour les pays émergents, mais de seulement de 1,6% pour les pays avancés», a souligné mardi Olivier Blanchard, le chef économiste du FMI, en présentant le nouveau World Economic Outlook (WEO). Ce n'est pourtant pas ce décalage, désormais habituel entre les pays du Nord et ceux du Sud, qui inquiète le plus les économistes de Washington. «Les risques sont clairement à la baisse», a reconnu Olivier Blanchard . Se référant au précédentes chutes boursières des dernières décennies, il admet qu'il existe aujourd'hui un risque de récession d'une probabilité de 38% aux États-Unis et de 17% à 18% au Royaume-Uni et en France, si l'on en croit les calculs économétriques. Pour sa part, le FMI a produit un scénario alternatif combinant trois ingrédients, «les turbulences financières non maîtrisées dans la zone euro, combinées à une dégradation des perspectives de croissance de moyen terme aux États-Unis et à un contrechoc financier sur le secteur immobilier en Asie émergente». Compte tenu du peu de marges de manœuvre monétaires et budgétaires des pays avancés, les États-Unis et la zone euro risqueraient alors d'entrer en récession, avec un niveau d'activité inférieur de 3% en 2012 à ce qui est envisagé dans le scénario de base du WEO. Le Japon ne serait pas indemne, perdant 1,5% de croissance par rapport aux prévisions centrales, ni même l'Asie émergentes, qui se retrouverait 2,5% plus bas que prévu. Si le FMI agite le spectre de la récession c'est pour mieux l'exorciser. Et de lancer aux gouvernements «un appel fervent à l'action». «Les responsables (politiques) sont en retrait d'un pas sur l'évolution des marchés», estime l'économiste du FMI. «L'Europe ne peut de donner le luxe d'attendre trois ou quatre mois pour mettre en œuvre le plan du 21 juillet et en particulier la réforme du Fonds européen de stabilité financière». Conformément à sa mission de chef d'orchestre de la mondialisation, le FMI a présenté une feuille de route en trois points. «Le premier concerne la politique budgétaire. La consolidation ne peut être trop rapide car cela tuerait la croissance. Elle ne peut être trop lente car cela nuirait à sa crédibilité». Et Olivier Blanchard d'insister pour que le tempo doit être adapté à chaque pays. Il considère par ailleurs qu'il y a trois façons de soutenir les demandes intérieures des pays : par des taux d'intérêt bas, par la capacité des banques à distribuer des crédits et par des solutions aux problèmes de l'immobilier (aux États-Unis). Le deuxième volet est financier. Le FMI a entonné à nouveau son antienne de la recapitalisation des banques. «Pour un certain nombre de banques , spécialement en Europe, cela nécessite l'apport de nouveaux capitaux, de préférence privés, et de source publique si nécessaire». Troisième champ d'action, «le rééquilibrage international». À cet égard la balle est dans le camp de l'Asie, qui doit se substituer au consommateur américain comme moteur de la croissance mondiale. «Même si cela ne peut se réaliser du jour au lendemain», a concédé Olivier Blanchard.

Anonymous said...

ATHENS—Greece reported progress Tuesday in talks with a troika of international inspectors over fresh austerity measures the country must take to meet its deficit goals, but failed to clinch a deal that would secure the country its next installment of badly needed aid.

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CloseAssociated Press

Public-sector trade union members burn emergency tax notices during a protest in Athens on Tuesday.
.Greece's finance ministry said the negotiations made "satisfactory progress" but that the talks would continue over the weekend in Washington, where Finance Minister Evangelos Venizelos is to attend the annual meetings of the World Bank and the International Monetary Fund